• C'est une femme comme les autres. La vie a été injuste et perfide avec elle. Elle a été désarçonnée par sa monture. Parti d’un bon train, elle n’a pu gravir le énième talus pourtant anodin mais qui, par un sort contraire, la jette bas avec armes et bagages.

    Elle est seule dans son appartement. L'heure nuitale avance et elle aspire à s’enfouir dans les draps et sous la couverture. Cependant dans le vestibule elle perçoit une forme dans le miroir. Elle comprend que c’est son image réfléchie. Elle s’approche et découvre son visage et ce qu’elle parait aujourd’hui.

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    Elle est complexée par son physique et elle aimerait perdre du poids qu'elle juge Même si elle n'est point laide, elle déteste son corps et ne s'accepte telle mais elle est stupide car ses traits lui conféraient un charme indéniable. Si elle avait été un homme, elle eût aimée cette femme brune dont l’élégance protestait malgré les ans. Ses lèvres expriment comme une promesse. Son regard recelle des flammes ardentes sous la cendre des cernes.

    Elle se déshabille lentement dans la pénombre de la chambre. Rituel des plus doux... qu'un homme puisse observer et en jouir. Elle fait comme si cependant. Ses escarpins sont, tour à tour, jetés au pied du lit, et en fait de même avec son jeans. Celui-ci glisse sur la peau des cuisses et des jambes. De la naissance de chair crue de l’entrecuisse jusqu’au pied. Bruissement du tissu comme s’il s’agit d’une main douce dans la nuit qu'elle perçoit sans le voir. Son corsage, son soutien gorge et sa culotte suivent le même chemin.

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    Elle écoute son cœur. Ses battements sont réguliers. Le sommeil est possible et la paix revenue. Elle est nue, sa peau offerte à des caresses invisibles. Ses seins lourds, son sexe humide, ses fesses haletantes s’abritent un instant dans la moiteur du drap.

    Dans la pénombre de la chambre, comme dans un songe, Elle me voit.

    Mon regard la pénètre. Je prononce quelques paroles silencieuses.

    Elle semble décontenancée par ma présence, mais elle comprend qu’elle en comprend le sens : « je suis près à exaucer ton vœu cette nuit ».

    Elle me signifie qu’elle n’a pas eu un réel amant depuis qu'elle a quitté son mari, un réel amant qui a su la contenter et la combler tout à fait.

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    L’ambiance de la chambre est devenue bizarre. Elle est comme animée d’une vie nouvelle. Le coin le plus sombre de la pièce attire son regard. Un être s’y cache. Il doit résider là depuis un temps. Elle hésite d’y aller voir et veut s’endormir de suite et se retrouver le matin déjà dans la vie réelle.

    Elle n’a pas à hésiter longtemps car je m'avance. Hors de l’ombre je fais un pas en avant. Je suis, comme à mon habitude, vêtu d'un jean et d'une chemise.

    Arrivé au milieu de la chambre, je la contemple. Je lui fait un geste comme pour m’autoriser à prendre mes aises et à m’approcher d’elle.

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    Elle se trouve ridicule de demeurer assiégée derrière sa couverture. Et pourtant, elle n’a jamais été prude ni bigote avec les hommes. Elle se fait chatte. Elle adresse un sourire qui signifie que j'avais droit de m’asseoir à côté d’elle sur le lit et de lui prendre la main.

    Rien de désagréable au contact. Sa main est chaude et douce. Elle dégage un parfum délicieux. D’un coup les regards se projettent l’un vers l’autre.

    Parallèlement, elle perçoit, à travers les rideaux, que l’aube vient. Qu’une rougeur d’horizon précède la levée du soleil. Qu’il sera moins poétique, plus mal à propos de me séduire plus tard. L’heure présente est trop propice, il ne lui en faut pas davantage.

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    Elle a un regard sans équivoque sur mon entrecuisse de l’homme. Le résultat est immédiat car il apparait une grosseur caractéristique, l'érection du sexe du mâle. Elle m'adresse un sourire tout et, sans davantage de précaution, si ce n'est un « je peux » à peine balbutié, elle applique sa main sur mon sexe afin de l’éprouver et le caresser à travers le tissu.

     Je me laisse faire et je frôle, d'une main doucereuse, sa main pour l’encourager à prodiguer plus son effleurement. Elle ne se fait pas plus prier et elle palpe et caresse, avec autant délicatesse qu’il se peut, par dessus le tissu, l'objet de ses désirs.

    Je bande démesurément. Le vêtement ne peut plus contenir mon petit Jésus. Celui-ci réclame d’être libéré et déployé à l’air libre. En un instant, ses doigts frétillants et fiévreux s'empressent de déboutonner ma braguette et de faire sauter le bouton de la ceinture du jean afin d'en découvrir mon slip renflé sous la tension de ma verge.

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    D'un geste mesuré, ses doigts tirent sur l'élastique du frêle tissu de mon slip libérant ma bite raide et dure qui darde un gland doux et puissant. Et slip et pantalon glissent rapidement le long de mes cuisses découvrant mon bas ventre et livrant mes bijoux de famille à son regard concupiscent regorgeant d'envie, de volupté et de désirs sensuels.

    Elle s’enquiert de la dureté de ma verge par un attouchement subtil du doigt puis de la langue. Ainsi la chatte lape son lait. Enfin sa bouche s'empresse de la gober, de la lécher, de la pomper.

    Les yeux fermés, je m'abandonne aux sortilèges de la fellation. Elle, elle renait dans des gestes coutumiers.

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    Au début, elle lèche délicatement mon gland, alternant les léchouilles et les petites pressions, lèvres fermées sur le gland, et les testicules, et descend même jusqu'à l'anus. Puis elle prend mon pénis dans sa bouche et va et vient, de bas en haut, lentement tandis que sa main dorlotte mes boules. Elle semble observer les secteurs qui me donnent le plus de plaisir quand sa langue passe sur eux. Elle s'y attarde dessus et elle semble noter les changements sur mon pénis et même de mon corps.

    Alors, avec sa tête elle commence un mouvement de cercle. Ma bite glisse dans sa bouche en formant un cercle dans le sens inverse des aiguilles d' une montre, d' une façon constante, lente et délicate. La tension monte en moi et un indisciple plaisir s'empare de tout mon être. Désireuse de la faire retomber un peu mon émoi sensuel, d'un geste gracile, elle soulève ma verge et sa langue lèche le dessous dans un mouvement ascendant depuis mon anus jusqu'au gland dans un long temps d'extase délicatement répété.

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    Et elle reprend ma bite dans sa bouche en faisant glisser affectueusement sa langue humide sur mon gland jusqu'à ses lèvres. Elle ferme sa bouche autour de mon thermomètre à moustaches et le fait glisser avec un mouvement de va-et-vient. Elle penche sa tête du côté et ses lèvres humides sont en contact avec l'arrête de la couronne.

    Sentant mon orgasme monter, elle place son pouce a la base même de mon pénis bloquant, ainsi, le tube par lequel le sperme circule, mon sperme qui ne peut s'échapper bien qu'il soit pousser par des spasmes. En même temps elle suce vigoureusement mon gland. Et quand elle permet, finalement, au sperme de jaillir, mon orgasme dure beaucoup plus longtemps et plus intensément il secoue tout mon corps. 

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    Maîtresse d’expérience elle se garde bien de relâcher ma bite et par un branle buccal et labial subtil de ma verge, elle lui redonne vigueur et me signifie que je dois lui rendre un peu de la monnaie de la pièce.

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    A cet effet elle se met au travers du lit sur le dos en écartant ses cuisses afin que je vois un peu de sa moule. Elle ferme les yeux en attendant le contact de ma bouche. Ma Bouche, ma langue et mes lèvres s’abattent avec la délicatesse d’une colombe sur une branche sur son bas ventre déjà tout dégoulinant de moule. Elle ferme les yeux pour réprimer un vrai cri et module celui-ci en un bref gémissement.

    Je peux éprouver qu’elle est tout humide et qu'elle s’écoule comme une fontaine. Elle se tourne à propos, sur le lit, couchée dessus le ventre, me présentant ses fesses.

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    Je les caresse tant avec les mains qu’avec ma bouche avide. Elle se trémousse excitée. Elle trouve sublime que ma langue se hasarde et s’attarde dans le recel de l’anus. Elle se sent prête à ce que je la prenne, la pénètre, l’introduise.

    Elle se souleve à peine sur les mains, à quatre pattes, cul cambré afin que je commence mon œuvre en levrette. Elle n’a pas de doute que ma bite soit mangée, engloutie par sa chatte. J'entre sans encombre dans son ventre. Agréable que de la sentir investie de la sorte.

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    Elle répond à chaque à coup par une ruade, fort à propos, de son bassin...

     

    Mais le rêve s'efface sur l'écran noir de l'inconscient,,,,

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