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Par petitfilou dans Quand l'érotisme... le 24 Juin 2011 à 14:00
En réponse à l'une de ses questions « Qu'est-ce que tu dirais et écrirais si j'étais une nymphomane ... »
A toi grosse salope lubrique qui adore pomper ma bite...
La nuit est calme et, enveloppée dans la douceur moite des draps, je me laisse envahir par l'impatience de retrouver celui que surtout mon corps avide d'étreintes et de jouissances et un soupçon de mon cœur, dans un parfait accord, ont choisit pour satisfaire mes envies... « l'envie d’être aimée charnellement, câlinée, caressée, sucée, léchée, lapée, tringlée et comblée d'intromissions vaginales et anales, l'envie d'idolâtrer passionnément un amant merveilleux admirablement doté d'un service trois pièces qui me fait fantasmer, lui accorder mille et mille privautés concupiscentes, luxurieuses, grivoises, libidineuses et voluptueuses et, l'envie, surtout, de me goinfrer buccalement, jusqu'à plus soif, de son ithyphalle priapique duquel, porté à la volupté orgasmique, coule une liqueur aphrodisiaque au goût délicat et exquis... »
Il faut dire que je suis une grosse salope lubrique, de taille imposante, aux formes plus que généreuses, des nichons abondants et volumineux, qui aime le sexe et qui ne m'en cache pas. A la limite nymphomane, bien en chair et dodue, la chatte en feu et un appétit inassouvi de bites je n'attends, d'un mâle bien monté, que trois choses existentielles pour assouvir mon avidité friponne : une bonne pipe goulue en gorge profonde, une bonne dilatation anale et un bon pétage de rondelle, et une belle queue tout dure, dans ma chatte humide, qui me ramone la chatière à grands coups de cognée bucheronne.
Dans le silence de la nuit, les heures s'écoulent lentes et je me languis dans l'attente de la venue prochaine de mon amant, pas tout jeune, certes, mais bien monté, toujours vert et en forme pour parvenir à assumer trois ou quatre orgasmes dans une même journée. En outre sa bite réagit d'une manière admirable à toutes mes sollicitations et elle gonfle, se raidit et pointe vers ma bouche dès que ma main fureteuse la taquine ou que ma bouche gourmande l'effleure et ma langue lèche son prépuce et son méat. Avec lui, ce qui me rend vraiment heureuse c'est qu'il sait faire dilater mon minou bien gazonné, humide et docile, et distendre mon troufignon en le doigtant, un doigt, puis deux, puis son gland appliquant une pression douce, mais ferme et régulière...
Et comme je transpire la passion du sexe, demandant et quémandant toujours de la bite, son pieu sait comment remplir ma bouche, quand je lui pèle le jonc, du jus de ses boules et comment défoncer ma chatte et mon petit trou du cul comblant, ainsi, mes envies insatiables. Enfin, avec lui, et en sa chaude compagnie, mon corps se libère de tout tabou car il a compris, qu'après une turlute baveuse il doit vite planter son chibre dans ma moule et la limer sans pitié ou, suivant mes humeurs, l'enchâsser dans mon fion pour le besogner sans ménagement. Expert dans l'art de la baise, il me tourne et me retourne dans toutes les positions martelant ma choune ou mon troufignon à grands coups de butoir. Et mes gémissements le mènent à déverser, au fond de mes entrailles, un flot de foutre qui trempe mon corps sublime de chaudasse affamée, boulimique et dévoreuse de bite...
Ce soir, comme tous les autres soirs que je le sais loin, loin de moi, je ne dors pas et les nuits me paraissent longues et éternelles. Alors mes yeux s'extasient de mes deux monstrueux globes mammaires qui, émergeant des draps, pointent leur tétine arrogante et semblent bondir vers l'avant en se dandinant légèrement. Je n'oublie pas que je suis une bonne femme grosse et salope, obèse mais sexy, plus que grassouillette et aux chairs tombantes quand mon corps est dénudé. Mais j'assume entièrement mon obésité et mes rondeurs et je n'hésite pas à mettre en avant et à exhiber sans tabou mes formes généreuses et mes rondeurs quand mon mec investit, de sa présence, mes appartements.
Les deux aréoles bistres, très larges, dardent et me narguent. Les yeux chavirés, je contemple, émue, bouleversée et haletante, mon corps superbe. Je m'étire de tout mon long et toutes mes boursouflures charnelles et tous les replis de ma peau ondoient sous l'effet d'une excitation majeure. Ma main gauche se plaque soudain sur mon ventre pendant que ma main droite enferme brutalement un sein que je pétris frénétiquement en gémissant de plaisir. Je suis déjà au bord de l'orgasme. Mes doigts effleurent ma moule détrempée, mon pubis pointe vers l'avant, en un appel sauvage. Éperdue, je chasse les draps qui recouvrent mon gros tas de viande et je me roule sur le lit telle une chatte en chaleur.
N'y tenant plus, je caresse lentement et longuement mes cuisses. Et, passant un doigt habile sur mon clitoris turgescent, je reprends l'exploration de ma foufoune ouverte comme une huitre. Je sens la cyprine ruisseler entre mes fesses et je contiens mon orgasme à grand peine. Redressant la tête un instant, j'aperçois, renvoyée par le miroir, l'image de grosse femme avide et délicieusement ronde et en surcharge pondérale et de mon corps alangui. En proie à un spasme violent, je rentre brusquement mon ventre, j'écrase mes seins et me mets à les peloter et à le tournebouler vigoureusement en décrivant de grands mouvements circulaires. Soudain, je sens mes entrailles et mon vagin exploser. Je pousse un cri sauvage et je jouis éperdument, longuement tout en enfonçant mes doigts sur les bouts de mes seins. Tout mon corps cabré reste suspendu, pendant un temps indéfini, à la puissance de l'intense orgasme qui me submerge et m'entraine dans le charivari d'un sensuel érotisme à connotation pornographique.
Encore toute frissonnante et loin d'être calmée, j'en viens à imaginer, le penchant et l'envie de sentir la présence de mon mâle, appareillé d'un service trois pièces d'apparat et de compétition, auprès de moi, le penchant et l'envie de goûter et de lécher et de sucer son sucre d'orge de gros calibre, que son phallus, tout gonflé de désir, brandi, rigide et frémissant d'appétence vulvaire, au bord de l'éjaculation, parcourt mon ventre. Il flagelle ma poitrine et s'enfonce dans la tiédeur de mes seins. Et, enfin, il se présente en surplomb de mes lèvres avides de le gober sur toute la longueur de sa hampe jusqu'à la garde, de lui titiller le gland et de glisser ma langue dans la fente de son méat. Mais, espiègle et malicieux, il se refuse à être sucé, léché, lapé et pompé. Me laissant sur la faim d'en avaler son jus, il redescend vers mon ventre.
Subitement, une idée m'envahit et me submerge : « Si en rapprochant mes épaules, mes seins emprisonnaient la verge et la coinçaient ? » Le mouvement accompagnant l'idée géniale qui m'a traversé l'esprit, j'écrase mes nichons entre mes bras. Je me prends à malaxer mon opulente poitrine et à la triturer dans tous les sens en poussant des petits cris de plaisir. Et, toutes mes entrailles retournées, tous mes sens exacerbés, j'endure la sensation indicible de voir le phallus rougeaud de mon amant aller et venir entre mes seins. Subjuguée, je fixe son bout turgescent qui s'approche et s'éloigne de mon visage et qui me nargue et me fait la nique.
la suite en cours de correction...
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